Une petite question à nos confrères en arts graphiques.
Il m'est déjà arrivé de voir des facings antédiluviens altérés par des insectes, des étiquettes savamment ouvragées par des lépismes, mais ma dernière "découverte" est plus surprenante (enfin moi cela m'a surprise).
Il s'agit d'une étiquette ancienne (XIX° siècle) du marchant de couleurs et restaurateur HARO collée sur un châssis. Imprimée sur un papier vergé, cette étiquette est aujourd'hui dégradée mais les parties "encrées" subsistent presque intactes. Il semblerait donc que "l'agent dégradant" n'ait pas aimé l'encre.
Quelqu'un peut-il m'éclairer sur ce phénomène ?
D'avance merci.
Un détail :
puis un autre :
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